Présenter cette musique au travers d’une œuvre jouée pour la première fois, composée par une jeune artiste à laquelle on peut s’identifier, permet de lever un certain nombre de préjugés et de stimuler la curiosité. De plus le style très mélodique de la compositrice Diana Cotoman est une invitation universelle à tous les mélomanes.
Au programme:
Diana Cotoman : Création: Symphonie n° 1
Wolfgang A. Mozart : Concerto pour clarinette, deuxième partie
Antonin Dvoräk : Sérénade pour cordes en mi majeur
Diana Cotoman est une jeune compositrice née en 1979 en Roumanie dans une famille de musiciens. Elle débute le violon à l'âge de quatre ans et passe ses premières années dans les coulisses de l’opéra où sa mère joue dans les premiers violons.
Ses compositions donnent une place d’honneur à la mélodie. Toujours en quête de syncrétisme hérité de sa passion pour l’opéra, elle utilise toute la diversité de sa palette mélodique pour dépeindre une multitude d’atmosphères et de sentiments.
Elle est l’auteur de la suite symphonique Tableaux créée à Paris en 2009, à l’Oratoire du Louvre, par le Rainbow Symphony Orchestra sous la baguette de John Dawkins, puis rejouée en 2010 par le Dochia Orchestra qu’elle dirige et en 2011 par l’orchestre Ecce Cantus sous la direction de Martina Niernhaussen.
Tableaux ainsi que sa suite pour mezzo-soprano et orchestre, Poèmes, sont disponibles sur CD.
Diana achève actuellement l’écriture d’un Requiem.
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